traîner ton regard
J'ai cherché la lumière et l'inspiration qui t'ont guidé
un siècle durant...
Ce regard s'est éteint, mais il reste la ville:
des pavés d'histoire, des pluies de mélancolie
des arbres penchés, des passants pressés....
Alors entre les larmes des quais et les arches du paysage,
j'ai senti ta présence, comme une aile légère, un frisson de lumière...
A toi, Willy RONIS
2 commentaires:
Un très bel hommage! Le regard se balade d'un plan à l'autre, d'un pont à l'autre, avec autant de plaisir qu'une promenade sur les quais.
Bien trouvé le montage.
Avec tous les personnages du bas en ombre chinoise, cela aurait été plus joli.
(attention à la tête coupé en bas).
sinon cadrage nickel comme dab'.
Toujours un plaisir de repasser par là.
Stef
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